Les résultats obtenus par les financements de la FAPBM sur la conservation des aires protégées et la biodiversité, ainsi que sur le bien-être humain sont mesurés et évalués dans le cadre de son Plan Stratégique 2017-2021.

2,69/5
Indice d’intégrité Biologique
3 512 251Ha
Superficie des aires protégées
36
Aires protégées soutenues
FIS
(Fonds d’Intervention Spéciale) en 2019
319
Espèces, faune et flore endémiques conservées
test ipsum
L'indice d'Intégrité Biologique

L’intégrité biologique des aires protégées que la Fondation finance ne cesse de se renforcer depuis 2017. L’objectif général du Plan Stratégique 2017-2021 est mesuré par l’Indice d’Intégrité Biologique des aires protégées. De 2,62 en 2017, la valeur annuelle moyenne pour toutes les aires protégées financées par la FAPBM, cet indice est de 2,69 en 2019, la valeur cible étant de 3 en fin 2021 sur une échelle de 0 à 5. Les valeurs obtenues montrent que l’intégrité biologique des aires protégées financées par la FAPBM est bonne.

 

test ipsum
Conservation de 319 espèces faunistiques et floristiques

Les financements de 36 aires protégées, pour une superficie totale de 3 512 251Ha, ont permis la conservation de 319 espèces faunistiques et floristiques dont la plupart sont endémiques à Madagascar et figurent sur la liste rouge de l’UICN. L’état de conservation des espèces cibles est resté stable en 2019. Il y a eu même une amélioration de la densité et/ou de l’abondance de ces espèces dans certaines aires protégées grâce à la protection de leurs habitats naturels et à la diminution des activités de chasse. C’est le cas des lémuriens diurnes, des autres mammifères et des oiseaux d’eau.

test ipsum
La FAPBM finance des situations d'urgence avec son Fonds d'Intervention Spéciale

Par ailleurs, la FAPBM finance des situations d’urgence. En 2019, par exemple, la FAPBM a financé 3 aires protégées avec son Fonds d’Intervention Spéciale (FIS). L’allocation de ces financements d’urgence aux gestionnaires a permis d’intervenir rapidement face à de graves pressions menaçant l’intégrité biologique de l’aire protégée. Il s’agit du parc national d’Ankarafantsika, du Corridor Forestier de Bongolava et de l’aire protégée de Menabe Antimena.

Si le niveau des menaces sur les ressources naturelles des aires protégées financées par la FAPBM est resté stable, les formes de pressions continuent cependant de peser sur ces aires protégées. La perte des surfaces forestières au niveau de ces aires protégées était ainsi de 199 ha en 2019.

Fière d’être membre des organisations :